Recherche par lecteur : GLENCK Geneviève
118 résultats. Page 2 sur 6.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 10h. 46min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 72055
Résumé:Les héroïnes de cette saga féminine, dont l'action recouvre le second tiers du XXe siècle en Pologne, sont trois soeurs : Gerta, fiable et sérieuse, Truda, qui cède facilement aux appels du coeur, et Ilda, la rebelle, la fantasque. Leur mère, Rozela, les a élevées seule dans le village cachoube de Dziewcza Góra. Pour survivre à la guerre, puis à la terreur stalinienne, elles doivent apprendre à dissimuler leurs sentiments. L'insensibilité devient leur bouclier contre l'adversité, et, là où d'autres s'effondreraient, Rozela et ses filles poursuivent leur chemin, vaille que vaille. Il y a des mariages et des séparations, mais ni les maris ni les enfants qui viennent au monde ne constituent le centre de tout. Ici, les liens du sang ne semblent relier que les femmes... Au fil des années, la maison de la mère restera le lieu où reprendre souffle, où retrouver forces et réconfort. Dans cette éblouissante évocation de la "dureté" des femmes, aucune idéalisation, aucun violon de mélodrame facile, mais des images inoubliables et un humour merveilleux. Une ode à la sororité, à une forme farouche de solidarité.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 10h. 33min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 71755
Résumé:Yoel Blum, célèbre auteur israélien, se rend à Amsterdam, sa ville natale, pour assurer la promotion de son nouveau roman, et ce en dépit de la promesse qu’il avait faite à sa mère de ne jamais y retourner. En visite au Musée historique juif, il voit un film d’archives où apparaît sa mère tenant un bébé qu’il ne reconnaît pas. Qui peut bien être cet enfant et pourquoi sa mère, aujourd’hui morte, ne lui en a-t-elle jamais parlé ? Premier roman traduit en français d’Emuna Elon, écrivaine reconnue et primée en Israël, Une maison sur l’eau remonte le cours du passé et confronte le lecteur aux heures sombres d’Amsterdam, au fil d’un poignant voyage dans le temps et la mémoire. Une réflexion inoubliable sur l’identité et les origines.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 11h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 71223
Résumé:Ils étaient quatre, trois filles et un garçon : Dolorès, Zineb, Bianca et Hannibal. Quatre meilleurs amis devenus comme frère et soeurs, ayant grandi ensemble, connu les joies de l'enfance et les tourments des premiers sentiments, se jurant de ne jamais se séparer. La vie s'ouvrait à eux ; le lycée terminé, ils quitteraient leur village du Sud, découvriraient Paris. Mais le soir du bal de fin d'année, Hannibal disparaît et laisse celles qu'il appelait mes douces, seules et interdites. Huit ans plus tard, son corps est retrouvé, sous terre, dans la propriété d'Auguste Meyer, sculpteur célèbre de la région, professeur de poterie des quatre enfants qui, jusqu'à sa mort, a nourri pour Dolorès, sa beauté, une étrange fascination. L'Officier Casez est chargé d'enquêter, il convoque les trois jeunes femmes ; l'une est devenue star sur les réseaux sociaux, l'autre étudiante, la dernière travaille dans un cinéma. Elles ne se parlent plus mais continuent de recevoir d'énigmatiques emails signés Hannibal. L'une le croit vivant, les autres pas. A mesure qu'il essaie de percer le mystère de leur amitié, Léo Casez bute sur les interrogations : quel pacte les liait ? Qui était vraiment Auguste Meyer et pourquoi la mère de Dolorès le protégeait-elle ? En rouvrant les archives du passé, il force les secrets et nous entraîne dans les souvenirs de cet été brûlant, les joies et les tourments de quatre adolescents devenus si tôt adultes. Un premier roman haletant, envoûtant comme un tour de magie.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 18h. 49min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 70449
Résumé:Jojo Moyes est romancière et journaliste. Elle vit en Angleterre, dans l'Essex. Après avoir travaillé pendant dix ans à la rédaction de l'Independent, elle décide de se consacrer à l'écriture. Ses romans, traduits dans le monde entier, ont été salués unanimement par la critique et lui ont déjà valu de nombreuses récompenses littéraires. Avant toi a créé l'événement et marqué un tournant dans sa carrière d'écrivain. Ce best-seller a rencontré un succès retentissant qui lui a valu d'être adapté au grand écran, tout comme Le vent nous portera.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 2h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 70123
Résumé:La montagne. Un village isolé. Dans les parois rocheuses qui le surplombent, se trouve une grotte appelée ’la grotte aux fées’. On dit que, jadis, les fées y cachaient les bébés qu’elles volaient. A l’écart des autres habitations, Mariette et son fils ont construit leur vie, il y a des années. Ce fils, étonnante force de la nature, n’a jamais prononcé un seul mot. S’il éprouve une peur viscérale des hommes, il possède un véritable don avec les bêtes. En marge du village, chacun mène sa vie librement jusqu’au jour où, au cours d’une randonnée dans ce pays perdu, un touriste découvre une petite fille nue. Cette rencontre va bouleverser la vie de tous... Violaine Bérot, dans ce nouveau roman à l’écriture poétique, décrit une autre vie possible, loin des dérives toujours plus hygiénistes et sécuritaires de notre société. Un retour à la nature qu’elle-même expérimente depuis vingt ans dans la montagne pyrénéenne.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 6h. 41min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 69667
Résumé:« Chez ma mère, sur sa table de chevet, il y avait une photo de nous trois rigolant enchevêtrés l’un sur l’autre dans une brouette. C’est comme si on nous avait poussés dedans à une vitesse vertigineuse et qu’on nous avait versés dans le temps. »
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 12h. 2min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 69598
Résumé:Elles sont trois : Véra, sa fille Nina, sa petite-fille Guili, soudées par les liens du sang et déchirées depuis des décennies par un terrible secret. Le jour du quatre-vingt-dixième anniversaire de Véra, célébré avec faste au kibboutz, Guili, brûlant de mettre au jour l’histoire de sa famille, décide de tourner un film sur sa grand-mère. Et voici les trois femmes embarquées pour un long voyage vers la Croatie natale de Véra et ses lieux de souffrance. Pendant leur périple, celle-ci livre pour la première fois le récit de son existence. Que s’est-il réellement passé, lorsqu’elle a été condamnée à trois ans de travaux forcés sur l’île-goulag de Goli Otok par la police secrète de Tito ? Et pourquoi, refusant de trahir la mémoire de son mari Milosz, exécuté comme espion stalinien, a-t-elle dû abandonner sa fille Nina, alors âgée de six ans, laquelle, jamais remise de la blessure, a abandonné plus tard sa propre fille, Guili ? C’est par la voix de cette dernière et l’écho de quelques autres que nous cheminons à rebours, sur les traces d’un destin tragique, à la croisée de ces moments de l’Histoire qui forcent les individus à faire des choix impossibles. Le douzième roman de David Grossman explore de façon magistrale les rapports mère-fille, la question du silence et de la transmission. Au fil des révélations, le livre nous emporte dans un crescendo qui culmine avec une rare intensité émotionnelle et s’achève avec grâce sur le pardon, dans un élan d’amour et de compassion.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 6h. 25min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 69042
Résumé:Relizane, pendant la guerre d’Algérie. Lorsqu’en pleine nuit, on frappe à la porte, Marcel, le grand-père d’Olivia Elkaim, craint pour sa vie et celles de sa femme et de leurs deux enfants. On lui enfile une cagoule sur la tête, il est jeté dans un camion et emmené dans le désert. Va-t-il être condamné à mort ou gracié ? Il revient sain et sauf à Relizane trois jours plus tard, et ses proches se demandent quel est le secret de ce sauf-conduit. A quoi a-t-il collaboré ? Quels gages a-t-il donné et à qui ? Viviane, son épouse, ses frères, sa mère, ses voisins, tous questionnent le tailleur juif. Mais il garde le silence. Quand un jeune apprenti arabe se présente devant son échoppe, Marcel comprend que tôt ou tard, il lui faudra quitter son pays natal. Après ce début d’une folle intensité romanesque, Olivia Elkaim retrace l’histoire de sa famille, l’exil des siens, leur arrachement à cette terre africaine, et leur fuite chaotique vers une France où rien ne les attend - ni confort, ni sympathie, ni même aucune aide administrative.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 5h. 52min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 68849
Résumé:" Peins ma fille, peins... Le jour commençait à baisser quand elle s'était enfin arrachée d'une ancienne fièvre. Une grande toile en était sortie, comme elle n'en peindrait jamais plus, avait-elle aussitôt compris. Une simple bâtisse dans l'herbe rase d'un vert cru, une bergerie, peut-être, tombée du ciel comme un météore... " Ainsi peint Aimée Castain, bergère de Haute-Provence. La montagne est dans le paysage. La mer nappe l'horizon, invisible, brumeuse, à soixante kilomètres. Et partout, la tendre sauvagerie des collines, les oliviers, les bories, la tentation de la couleur. Saisir sur la toile la beauté du monde. Son mari Paul ne comprend pas bien cette passion nouvelle, mais Aimée s'y donne, entièrement, tout en surveillant son troupeau. Peu à peu, son talent franchit la vallée, les amateurs achètent ses toiles, les journalistes écrivent sur le prodige. Une candeur de touche, un talent singulier, comme offert, par l'insaisissable : l'école du ciel, peut-être... La narratrice et son compagnon, Daniel, avocat, cherchent comment fuir Paris et Marseille, la vie épuisante, éclatée. Dans un village de Haute-Provence, une maison leur apparaît, comme offerte elle aussi, par l'invisible. Elle sera leur point d'ancrage. Chaque matin est une promesse nouvelle. Puis Daniel s'enflamme pour l'oeuvre d'une artiste oubliée, une fille de métayers, née pendant la Grande Guerre, une simple bergère. La maison qu'ils viennent d'acheter fut la sienne. Un talent magnifique et méconnu aurait-il vécu entre ces murs ? Elisabeth Barillé nous entraîne à la rencontre d'Aimée Castain et nous livre le roman de la liberté, avec grâce et un sens unique des images : échapper à son histoire, traverser l'enfance, accomplir son destin.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 10h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68500
Résumé:Il est des hommes...' est un roman noir, au sens où il ambitionne de dire quelque chose du monde social, de sa dureté, de sa folie, de sa barbarie. Un roman qui se confronte aux forces du mal, qui raconte l’enfance dévastée, l’injustice, le sida, la drogue, la violence dans une cité de Marseille entre les années 80 et 2000. Le narrateur, Karel, est un garçon des quartiers Nord. Il grandit dans la cité Antonin Artaud, cité fictive adossée au massif de l’Etoile et flanquée d’un bidonville, « le passage 50 », habité par des gitans sédentarisés. Karel vit avec sa sœur Hendricka et son petit frère Mohand, infirme. Ils essaient de survivre à leur enfance, entre maltraitance, toxicomanie, pauvreté des parents, et indifférence des institutions.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 4h. 55min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68062
Résumé:Grâce à trois rencontres fondamentales, Flora, qui a perdu son chemin, va reprendre vie. D’abord à travers ses retrouvailles avec Fritz Zorn, écrivain héroïque d’un seul livre culte, Mars, paru en 1976. Par son destin si singulier, Zorn offre à Flora sa révolte et sa colère. Puis avec les patients d’une clinique psychiatrique dans laquelle Flora est internée parmi ceux qu’elle nomme les égarés. Elle y redécouvre la fraternité et la solidarité humaine face aux violences du monde extérieur. Enfin, la dernière de ces renaissances est celle qu’elle va vivre avec son fils, Vladimir : un adolescent qui rejette la société hyperconnectée d’aujourd’hui. Chronique d’une chute et d’une résurrection, l’Évangile des égarés porte la bonne nouvelle : celle du refus de se soumettre à notre monde à bout de souffle.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 7h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 67897
Résumé:Nadia n’a jamais connu son père, mort avant sa naissance. À dix-sept ans, elle apprend que Nâzim, né en Turquie, immigré en France, avait été abattu lors d’une attaque de banque. Comme une frange de la jeunesse révoltée des années 1980, il s’était fourvoyé dans un groupuscule violent, au nom d’une lutte radicale contre l’injustice. Bouleversée, Nadia va chercher à renouer les fils de son histoire, entre Strasbourg où elle a grandi, et Istanbul où s’est réfugiée une ancienne complice de son père. Perdue, elle trouve un peu d’apaisement dans le hang, un instrument de musique dont elle joue bientôt dans les rues, en Alsace et dans la métropole turque. Y trouvera-t-elle de quoi combler l’absence ? Avec ce roman sur l’engagement, l’exil, la violence et la rédemption, Michel Serfati nous offre aussi le récit sensible d’une quête des origines.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 5h. 4min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 67805
Résumé:Pour Luky, c’est une année scolaire dans la vie de Luky, Abdoul et Diego, trois adolescents d’une petite ville de province. Comme un talisman face à une enfance qui s’éloigne, Abdoul, le philosophe de la bande, nous livre le récit d’une fraternité choisie.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 8h. 6min.
Genre littéraire : Science-fiction
Numéro du livre : 67558
Résumé:Corentin, personne n’en voulait. Ni son père envolé, ni les commères dont les rumeurs abreuvent le village, ni surtout sa mère, qui rêve de s’en débarrasser. Traîné de foyer en foyer, son enfance est une errance. Jusqu’au jour où sa mère l’abandonne à Augustine, l’une des vieilles du hameau. Au creux de la vallée des Forêts, ce territoire hostile où habite l’aïeule, une vie recommence. À la grande ville où le propulsent ses études, Corentin plonge sans retenue dans les lumières et la fête permanente. Autour de lui, le monde brûle. La chaleur n’en finit pas d’assécher la terre. Les ruisseaux de son enfance ont tari depuis longtemps ; les arbres perdent leurs feuilles au mois de juin. Quelque chose se prépare. La nuit où tout implose, Corentin survit miraculeusement, caché au fond des catacombes. Revenu à la surface dans un univers dévasté, il est seul. Humains ou bêtes : il ne reste rien. Guidé par l’espoir insensé de retrouver la vieille Augustine, Corentin prend le long chemin des Forêts. Une quête éperdue, arrachée à ses entrailles, avec pour obsession la renaissance d’un monde désert, et la certitude que rien ne s’arrête jamais complètement.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 12h. 35min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 66961
Résumé:Voilà dix ans que Dorrie Curtis coiffe Isabelle McAllister. Si cette jeune mère célibataire s'est indéniablement rapprochée de sa vieille cliente, la proposition que lui fait cette dernière ne l'en étonne pas moins. Traverser tout le Sud des Etats-Unis en voiture, du Texas à Cincinnati, pour un mystérieux enterrement... A mesure que défilent les kilomètres, les confidences de Mlle McAllistair réveilleront un passé enfoui - celui d'une jeune fille libre et amoureuse, du temps où les différences de couleur et les carcans de la société contrariaient les passions les plus pures...
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 9h. 31min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 66255
Résumé:"Depuis deux saisons déjà, le vieux Hibou lui avait ouvert les portes de son officine et l'avait laissée feuilleter les pages de ses livres. Elle s'y était plongée avec délice, elle avait tout dévoré. Quelques mois et tout avait changé ; la jeune fille savait désormais que le monde ne se réduisait pas à une bobine de fil et à une aiguille." Au coeur du Moyen Age, deux soeurs se bâtissent un destin singulier. Bravant les conventions, l'une découvre le véritable amour tandis que l'autre s'adonne en secret à sa passion pour la médecine. Mais cette quête d'émancipation n'est pas sans danger à une époque vouant les femmes au silence. Une magnifique saga, qui renouvelle le genre du roman historique.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 3h. 37min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 65835
Résumé:Passage des cœurs noirs est un roman tranquille, une balade sur les rives boisées, caressées d’ombres douces, d’un amour lumineux. Plusieurs voix se mêlent pour raconter les rêves et les angoisses, les plongées dans le désespoir, la renaissance, aussi, de ceux que les manques blessent. Il y a un peu de mer, pour l’espoir, quelques prés alpins, pour la nostalgie et les tendresses, de l’alcool pour les abysses, des livres, pour les souvenirs et les langueurs. Virgile, porté par un kaléidoscope de figures féminines, aime Heloïse, d’un coup. Il va l’accompagner jusque dans les tréfonds de sa douleur lorsque sa mère meurt, et faire, avec elle, le choix de la vie, qui jusqu’alors l’indifférait. Et puis, il va la perdre, subitement, et tracer, avec leur petite fille, un semblant de route, parsemé de rencontres farfelues, aimantes ou terrifiantes, jusqu’aux bords de la mer Noire, des années plus tard, à la recherche de la paix. Le récit est structuré essentiellement au cœur des émotions et des réflexions intérieures des personnages principaux. On va s’installer avec chacun d’eux dans le wagonnet de leurs montagnes russes personnelles et explorer les instants, d’amour, d’amitié, de confiance, d’éloignement, au gré des ressacs. Finalement, la seule question intéressante et qui traverse tout le livre, c’est, sans dieu ni au-delà, comment vivre avec toutes nos morts…
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 1h. 52min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 65844
Résumé:"Moi-même je le raconte, je le vois, et je me dis c'est pas possible d'avoir survécu..." Arrêtée par la Gestapo en mars 1944 à Avignon avec son père, son petit-frère de douze ans et son neveu, Ginette Kolinka est déportée à Auschwitz-Birkenau : elle sera seule à en revenir, après avoir été transférée à Bergen-Belsen, Raguhn et Theresienstadt. Dans ce convoi du printemps 1944 se trouvaient deux jeunes filles dont elle devint amie, plus tard : Simone Veil et Marceline Rosenberg, pas encore Loridan – Ivens. Aujourd’hui, à son tour, Ginette Kolinka raconte ce qu’elle a vu et connu dans les camps d’extermination. Ce à quoi elle a survécu. Les coups, la faim, le froid. La haine. Les mots. Le corps et la nudité. Les toilettes de ciment et de terre battue. La cruauté. Parfois, la fraternité. La robe que lui offrit Simone et qui la sauva. Que tous, nous sachions, non pas tout de ce qui fut à Birkenau, mais assez pour ne jamais oublier ; pour ne pas cesser d’y croire, même si Ginette Kolinka, à presque 94 ans, raconte en fermant les yeux et se demande encore et encore comment elle a pu survivre à "ça"...
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 4h. 45min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 65498
Résumé:A la question "Où êtes-vous née ? " , Patricia Loison répondait toujours : "Je suis arrivée à l'aéroport d'Orly, en 1971". Comme si tout ce qui précédait son adoption n'avait jamais existé. Il a fallu qu'un événement violent, intime, vienne ébranler sa vie pour réaliser que tout cela n'était que légende. Avant d'arriver, Patricia Loison était née de mère inconnue, à New Delhi. Et de cette première séparation, dormait la douleur trop longtemps niée d'avoir été abandonnée. Plus de quarante ans après les faits, Patricia Loison part donc, en fille autant qu'en journaliste, à la recherche de cette mère biologique, grande absente du récit familial. Où est-elle ? Pourquoi les Missionnaires de la Charité n'ont-elles pas gardé sa trace ? Comment retrouver ces femmes oubliées dont on accueillait les nouveau-nés sans poser suffisamment de questions ? Et surtout, quel est son nom ? Un premier livre émouvant, autant récit des origines qu'enquête sur le double visage de l'adoption.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 4h. 17min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 65231
Résumé:"L'histoire de mon grand-père se fond dans celle du XXe siècle. Né à Rovno, en 1903, dans une famille juive et profondément russe, il a entendu, enfant, ses parents discuter à voix basse de l'influence de Raspoutine sur la tsarine. Plus tard, il s'est battu contre les miliciens de Petlioura, est parti pour échapper aux pogroms, a construit des maisons à Tel-Aviv et s'est engagé dans l'armée française. Puis il a longtemps mené la vie simple d'un artisan parisien qui fabriquait des bracelets-montres en cuir à Belleville, où il est mort, le 25 décembre 1999, rue de Palestine. Tout le monde l'appelait Assia. Nous, ses petits-enfants, l'appelions Papi Assia. Assia est le diminutif de Menashe, nom dérivé de Manasseh, l'une des douze tribus d'Israël. Il signifie "oublieux". Ce n'était pas un nom très adapté à la personnalité de mon grand-père : Assia parlait peu, mais il n'oubliait pas. Car tout au long de son existence, il a dû apprendre à continuer à vivre en se demandant : "Pourquoi lui, pourquoi eux, et pourquoi pas moi ? ". Et c'est pour ne pas oublier non plus que j'ai entrepris ce récit".